Cliquez ici >>> 🩧 je ne me sens pas à ma place

Sesentir non dĂ©sirĂ©. Le sentiment de rejet pourra amener la personne Ă  se sentir sans le droit d’exister pleinement, etc. Je vois tant de gens qui ont ressenti de l’indiffĂ©rence, un manque d’amour, d’affection, de tendresse en bas Ăąge. Aujourd’hui, elles sont frĂ©quemment dĂ©stabilisĂ©es, en vide affectif et tentent de combler Lachirurgienne proctologue que je consulte ne me prend pas vraiment au sĂ©rieux, ne comprend pas pourquoi j'ai mal et ne veut pas intervenir sur mon rectum au vu de mon jeune Ăąge. Elle semble un peu dĂ©passĂ©e et moi, je me sens un peu comme un cobaye. Pour elle, la prioritĂ©, c'est de s'occuper de l'utĂ©rus qui appuie sur mon rectum. Je Depuisdeux semaines, je me retrouve Ă  800km de chez moi, pour mes etudes. Je rĂ©alise une bilicence qui n'existe que dans deux villes dans le nord de la France et Ă©tant originaire de la rĂ©gion toulousaine, c'est en ce moment trĂšs dur pour moi de m'aclimater. Ayant dĂ©jĂ  obtenu une licence Ă  Toulouse, je ne me sens pas Ă  ma place ici Parfois je ne me sens pas trĂšs connectĂ© Ă  l’Église. Pourtant, je suis pasteur! Mais devinez ce que je fais Je travaille sur moi-mĂȘme car, 9 fois sur 10, le problĂšme vient de moi. Et pour cela, j’emploie les moyens ordinaires de grĂące. C’est ce qui me permet de ne plus me focaliser sur ma personne mais sur la personne de Christ 28rĂ©flexions sur “ Layla : « je ne me sens pas Ă  ma place chez mes parents » ”. J’ai 14ans presque 15mdr et depuis mes 13ans je me suis mise fi l’ dĂźn al HamdĂ»li’Llah donc ukhty ma famille est comme la tienne et ‘e pratique pas malgrĂ© que je suis muslima de naissance ! Meilleur Site De Rencontre Paris Gratuit. Aller au contenu As salam aleykoum wa rahmatulahi wa barakatuh ukhty Alors voila, si je poste ce message, c’est pour avoir des tĂ©moignages de sƓurs ayant Ă©tĂ© dans mon cas afin de relativiser sur ma situation et pour me donner plus de courage, car Ă©tant consciente que la vie toute entiĂšre est une Ă©preuve et qu’en temps que musulmane je dois ĂȘtre endurante et ne pas perdre espoir, je suis une personne trĂšs sensible et fragile malgrĂ© que j’essaie d’y remĂ©dier par tous les moyens, Ă  commencer par me dire qu’il y a vraiment pire que veux lire la suite de son tĂ©moignage ? Inscris-toi vite ma sƓur ! Ce tĂ©moignage a Ă©tĂ© vu 9314 fois. J’entends de plus en plus souvent mes Ă©voquer l’absence de lĂ©gitimitĂ©. Le plus frĂ©quemment, les arguments riment avec la notion de confiance en soi. Et, tout aussi souvent, cette lĂ©gitimitĂ© » s’inscrit au plus profond de ce qu’ils ou elles ressentent d’eux ou d’elles-mĂȘmes. Cette carence » est d’autant plus marquĂ©e chez de nombreuses femmes. Comment comprendre ce sentiment d’illĂ©gitimitĂ© ? Qu’en dit la psychologie ? Peut-on considĂ©rer qu’il y ait un rapport entre lĂ©gitimitĂ© et confiance en soi ? Et, du coup, on en fait quoi ? Petit tour d’horizon de la lĂ©gitimitĂ© Permettez-moi une petite disgression explicative
 Lorsque l’on se penche sur le sens premier de la lĂ©gitimitĂ©, il se fonde textuellement dans le droit, la justice. Sa dĂ©finition se rĂ©fĂšre au droit naturel de ce qui est juste en soi » Ă  l’inverse du droit dit positif » le droit des lois Ă©crites qui dĂ©finit la lĂ©galitĂ© ». Si un systĂšme de prĂ©fĂ©rence dĂ©mocratique est lĂ©gitime au sens du choix consenti et Ă©clairĂ© des Ă©lites, il se doit d’apposer, Ă  son tour, des rĂšgles et des lois qui suivent des directives justes, Ă©quitables sur des bases toutes aussi Ă©thiques et morales. On va ainsi considĂ©rer qu’une dĂ©cision sera lĂ©gitime selon diffĂ©rents critĂšres come les circonstances, les personnes, les objectifs. Pourtant, dans notre vocabulaire commun, la notion de lĂ©gitimitĂ© est surtout connotĂ©e professionnellement. On va ainsi penser qu’une personne est Ă  sa place lĂ©gitime selon un certain bagage diplĂŽmes, expĂ©riences etc.. Il y aurait un rapport de cause Ă  effets entre ce que je possĂšde et ce que je suis. Ces liens directs entre compĂ©tences, diplĂŽmes et autres sont les moyens de valider une place, un emploi, un rĂŽle. Ils soulĂšvent rĂ©guliĂšrement la question de l’occupation de certains postes selon des critĂšres jugĂ©s objectifs mais qui peuvent, sous certaines autres conditions, bien subjectifs En effet, les mĂ©tiers avec des titres protĂ©gĂ©s ne peuvent ĂȘtre occupĂ©s sans leurs obtentions c’est le cas du mĂ©tier de psychologue En continuant les recherches, est sortie une autre dĂ©finition de la lĂ©gitimitĂ© celle des naissances dites lĂ©gitimes » issues d’une union reconnue par le groupe sociale via un rite comme le mariage. Pur mĂ©lange entre nature et culture quoi de plus lĂ©gitime qu’une naissance ?, elle soulĂšve la part du social dans les parcours pourtant libres et naturels entre deux adultes consentants. Le concept de lĂ©gitimitĂ© et la psychologie En approfondissant la question de la lĂ©gitimitĂ© en psychologie, ressortent des rĂ©flexions assez Ă©tonnantes. Soit vient celle concernant la lĂ©gitimitĂ© du psychologue en tant que ce qui en soit, a le mĂ©rite de faire grandir une science balbutiante et anciennement plutĂŽt critiquĂ©e. Soit Ă©merge le dĂ©bat sur la force des instances, croyances et autres sur ce qui est ou non lĂ©gitime. On pourrait alors en dĂ©duire que la lĂ©gitimitĂ© est surtout culturelle. En effet, si je me rĂ©fĂšre Ă  mon groupe d’appartenance plus ou moins Ă©largi pour me considĂ©rer ou juger quelqu’un de lĂ©gitime, je serai forcĂ©ment par tout ce que porte mon groupe de rĂ©fĂ©rence avec son lot de religion, repĂšres et rĂšgles plus ou moins explicites. Et, tout en restant au conditionnel, nous pourrions considĂ©rer que les rĂ©fĂ©rents Ă  la lĂ©gitimitĂ© ont plus Ă  voir avec la psychologie sociale et ses Ă©tudes des groupes qu’avec la thĂ©rapeutique
 Pourtant, ce mot revient en boucle dans les sĂ©ances. Et, quand on fait des recherches plus poussĂ©es encore, peu de rĂ©sultats concrets, scientifiques au sens premier du terme mais des sĂ©ries complĂštes d’interrogations entre lĂ©gitimitĂ©, confiance en soi voire imposture
 Mais, le terme n’est-il pas galvaudĂ© de fait ? AprĂšs tout, comme expliquĂ© plus haut, la lĂ©gitimitĂ© a d’abord un rapport avec la loi » bon, il nous faudrait lancer un grand dĂ©bat philosophique sur la lĂ©gitimitĂ© mĂȘme de ces lois
 !. Pourtant, il s’agit bien de souffrances quand elle est Ă©voquĂ©e. Donc, elle mĂ©rite d’ĂȘtre entendue et, mĂȘme, traitĂ©e. Je vais donc parler d’un sentiment de lĂ©gitimitĂ©. On s’attachera donc bien Ă  la partie affective de la personne et pas seulement Ă  une catĂ©gorisation en lien ni avec des codes ni l’espace professionnel. Petite tentative de dĂ©finition du sentiment de lĂ©gitimitĂ© Afin de bien distinguer la confiance, l’imposture et la lĂ©gitimitĂ©, nous pourrions poser qu’avoir le sentiment d’ĂȘtre lĂ©gitime ce serait se penser Ă  la bonne place et en empruntant un peu Ă  la justice dans son bon droit. Je prendrai 3 exemples directement empruntĂ©s Ă  des expĂ©riences partagĂ©es en sĂ©ances – Vous ĂȘtes Ă  un dĂźner. Tous les convives vous paraissent captivants, Ă©rudits. Vous les Ă©coutez et finissez par vous convaincre que vous n’avez rien d’aussi intĂ©ressant Ă  dire, Ă  apporter. Vous vous enfermez dans un silence poli mais qui vous plonge dans un absolu sentiment d’illĂ©gitimitĂ© Ă  ĂȘtre parmi eux. – Vous participez Ă  une rĂ©union avec d’autres parents au parc pendant que vos enfants jouent un peu plus loin. Un des parents fait une remarque plutĂŽt dĂ©guisĂ©e mais que vous pressentez parfaitement comme dĂ©sobligeante sur votre enfant. Le groupe entier rit. Vous restez mais, lĂ  encore, – Lors d’une rĂ©union, votre distribue les prochains dossiers Ă  traiter. Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  et votre le sait pertinemment. de vos collĂšgue refuse un des dossiers au prĂ©texte qu’il ou elle n’aime pas ce genre de dossier. Vous non plus. Pourtant, c’est Ă  vous qu’il sera donnĂ© parce que vous ne vous ĂȘtes pas Dans ces 3 situations, aprĂšs analyse, beaucoup Ă©voqueraient le manque de confiance en soi. Pourtant, le vĂ©ritable point commun ici est bien dans le positionnement par rapport aux autres. Dans l’exemple du dĂźner, ma patiente a scannĂ© » puis dĂ©duit les niveaux » des autres prĂ©sents sans jamais interroger sa valeur mais en Ă©valuant celles des autres. Pour la critique Ă  peine dissimulĂ©e sur l’enfant, le rire du reste du groupe a envoyĂ© un signal social il y avait une sorte d’accord entre les membres du groupe. Ce qui remettait en question son propre positionnement vis-Ă -vis du groupe en cas de dĂ©saccord de sa part. On comprendra plus tard que d’autres enjeux se jouent dans ce mĂȘme groupe. Et, enfin, pour la rĂ©union, le positionnement rapide du ou de la collĂšgue suivi d’un je n’aime pas » rend toute forme de nĂ©gociation compliquĂ©e entre postures professionnelles, reconnaissance par la hiĂ©rarchie et poser son non » face Ă  un je n’aime pas ». Le sentiment de lĂ©gitimitĂ© n’est pas toujours liĂ© au manque de confiance en soi qui est aussi Ă  rĂ©flĂ©chir. Mais bien Ă  sa difficultĂ© Ă  se positionner en se considĂ©rant en droit de le faire par rapport aux autres ! A la diffĂ©rence d’un systĂšme de lois qui dĂ©crĂšte ce qui est ou n’est pas lĂ©gitime, le sentiment de lĂ©gitimitĂ© me fait me positionner comme en subordination aux diffĂ©rents groupes dans lesquels j’évolue. Je vais me juger et non plus analyser de façon bienveillante la situation dans laquelle je suis. C’est parmi les autres que j’évalue de façons totalement subjective si je suis ou non lĂ©gitime. Aucun modĂšle, aucun code prĂ©dĂ©fini mais bien un sentiment subjectif de la situation que je subis. Le sentiment de lĂ©gitimitĂ© serait donc ma propre apprĂ©ciation de ma place et de mon droit Ă  la prendre. Outils et pratiques pour dĂ©velopper mon sentiment de lĂ©gitimitĂ© C’est ici que la psychologie en termes thĂ©rapeutiques intervient Il est important pour dĂ©velopper ce sentiment de lĂ©gitimitĂ© de repenser les places et positionnements que j’ai non seulement l’habitude de prendre mais aussi de donner Ă  autrui. Je peux le faire via l’analyse de mon histoire. GrĂące au travail sur soi-mĂȘme, la meilleure comprĂ©hension de soi et surtout la meilleure apprĂ©hension de soi, je vais pouvoir prendre conscience de la valeur que je porte Ă  mon environnement et Ă  moi-mĂȘme Ce sentiment de lĂ©gitimitĂ© se construit au travers de la qualitĂ© de nos attachements, eux-mĂȘmes en Ă©volution. Ainsi, en me comprenant mieux, je peux activer des leviers spĂ©cifiques pour dĂ©passer cette problĂ©matique. Les outils thĂ©rapeutiques et ceux issus de la psychologie positive sont parfaitement adaptĂ©s. Avec le ou la psychologue, cette rencontre avec moi-mĂȘme, me donne, enfin, le sentiment de toute ma lĂ©gitimitĂ©. Le livre des soeurs — Albin Michel Les lectures coups de coeur, ça se communautĂ© vous recommande chaque jour un nouveau Le livre des soeurs » d'AmĂ©lie Nothomb, paru le 18 aoĂ»t 2022 aux Éditions Albin Michel. Audrey Escoin, contributrice du groupe de lecture 20 Minutes Livres, vous recommande Le livre des soeurs d’AmĂ©lie Nothomb, paru le 18 aoĂ»t 2022 aux Éditions Albin Michel. Sa citation prĂ©fĂ©rĂ©e Les mots ont le pouvoir qu’on leur donne » Pourquoi ce livre ? Parce que ce roman, c’est l’histoire de Tristane. Fille de Nora et Florent, elle arrive au cƓur de ce couple fusionnel. Elle n’a pas sa place, car dans l’amour que se portent ses parents, il n’y a pas de place pour aimer quelqu’un d’autre. Tristane se montre alors sage et discrĂšte. Il n’est surtout pas question de se faire remarquer. Elle ne pleurera pas, comme on lui demande. Elle observe, Ă©coute et apprends les mots. Les mots, c’est sa force Ă  que ce roman c’est l’histoire de Bobette, la sƓur de Nora. Deux sƓurs en totale opposition. Bobette a quatre enfants sans pĂšre, vit dans un HLM et admire Tristane, Ă  l’instar de ses propres enfants qu’elle juge bĂȘtes et sans intĂ©rĂȘt. Tristane deviendra quelqu’un, elle est en sĂ»re. Sa tante lui confiera mĂȘme le rĂŽle de marraine, pour sa cousine. Une mission que Tristane prendra trĂšs Ă  cƓur, une prĂ©sence heureuse inespĂ©rĂ©e dans sa vie que ce roman, c’est l’histoire de Laetitia, la petite sƓur de Tristane qui naĂźt quelques annĂ©es aprĂšs elle. Pour cette derniĂšre, c’est un torrent d’amour qui dĂ©barque dans sa vie. Elle va aimer sa sƓur, tout faire pour elle, tout lui donner. Entre elles, c’est une Ă©vidence. Un amour fusionnel, que ce roman, tantĂŽt noir, tantĂŽt joyeux, montre la force des liens qui peuvent unir deux sƓurs. Mais pas seulement. On voit Ă©galement comme des parents peuvent dĂ©truire des enfances, et faire perdre toute confiance en soi Ă  des enfants. Ici on ne peut mĂȘme pas reprocher aux parents de Tristane d’ĂȘtre mal aimants ou maltraitants. C’est juste l’absence totale d’amour et d’attention qui saute aux yeux. N’est-ce pas pire ?Parce que ce roman, regroupe tout ce que l’on aime ou tout ce qui nous agace dans la plume d’AmĂ©lie Nothomb. Un humour un peu triste, des prĂ©noms originaux Tristane, ça lui va tellement bien quand on y pense, des situations un poil rocambolesques, l’utilisation d’un vocabulaire bien Ă  elle, l’amour des mots et des lettres mis en avant, et des relations familiales toujours trĂšs torturĂ©es. L’essentiel en 2 minutesL’intrigue. Le livre des sƓurs, c’est l’histoire d’enfants, de filles, de femmes, de sƓurs, de mĂšres, de tantes, de personnages. Tristane, ses parents et sa sƓur. Sa tante, sa cousine et cousins. Les amis d’école, les amoureux. Les lieux. La maison de famille. L’appartement de la Doit-on encore prĂ©senter AmĂ©lie Nothomb ? C’est en 1992, alors ĂągĂ©e de 25 ans, qu’elle fait son entrĂ©e fracassante dans le monde des lettres avec son roman HygiĂšne de l’assassin. Elle enchaĂźne depuis les succĂšs livre a Ă©tĂ© lu avec contradictions. Ne me demandez pas si j’ai aimĂ© ou pas. Depuis quelques annĂ©es, la lecture d’un roman d’AmĂ©lie Nothomb a l’incroyable force de susciter chez moi une intense envie avant de provoquer une totale indiffĂ©rence. Ne cherchez pas Ă  comprendre, et lisez ce roman pour vous faire votre propre voulez nous recommander un livre qui vous a particuliĂšrement plu ? Rejoignez notre communautĂ© en cliquant ici 20 Minutes de contexteUne partie des liens de cet article sont sponsorisĂ©s. A chaque fois que vous achetez un livre via l'un d'entre eux, nous touchons une commission qui nous aide Ă  payer nos factures. Pour Ă©viter tout conflit d'intĂ©rĂȘts, nous avons adoptĂ© la mĂ©thode suivante1. Les contributeurs de la rubrique choisissent leurs livres, rĂ©alisent leurs fiches et leur critique en toute indĂ©pendance, sans se soucier des liens Ă©ventuels qui seront Les liens sont ajoutĂ©s a posteriori, Ă  chaque fois que nous trouvons le produit recommandĂ© sur une de nos plateformes d'avance Ă  tous ceux qui cliqueront ! Par pasteur Marc Pernot Question d’un visiteur Bonjour pasteur, je vous contacte car depuis plusieurs annĂ©es, je suis croyant, en Dieu, en JĂ©sus, et je prie, et essaie d’agir au mieux, selon les valeurs que Dieu nous demande de suivre, celles qu’a enseignĂ© le Christ la paix, le pardon, l’amour, le non-jugement, etc
 Je ne me suis jamais vraiment senti Ă  ma place » dans les pratiques religieuses, Ă  part la priĂšre, je n’en ai donc aucune. Je ne suis pas baptisĂ© non plus. Je pense que Dieu ne veut pas nous voir nous forcer » pour pratiquer une religion, mais agir librement, Ă  sa maniĂšre. Selon moi, le plus important aux yeux du PĂšre et pour le Salut n’est pas le fait d’aller Ă  la messe, ĂȘtre baptisĂ©, pratiquer, etc, mais plutĂŽt suivre les valeurs et avoir le comportement qu’il aimerait que l’on ait, car c’est ça qui aura rĂ©ellement un impact sur les autres, sur le monde, sur ses crĂ©ations. J’aimerai savoir si l’on peut quand mĂȘme dire que je suis converti ? Personnellement, j’estime que oui, car chacun Ă  sa façon de pratiquer ou non, mais je peux me tromper. Merci beaucoup. RĂ©ponse d’un pasteur Cher Monsieur Vous avez tout Ă  fait raison de dire que chacun a sa façon de vivre sa foi. Le respecter est bien le minimum. Par dĂ©finition, ĂȘtre chrĂ©tien est avoir un rapport au Christ qui a une certaine importance sur notre façon de vivre et d’évoluer. Il me semble bien que c’est tout Ă  fait votre cas. Par la priĂšre, le j’essaye d’agir au mieux selon les valeurs » inspirĂ©es par cela. Ce sont bien les deux dimensions principales de l’amour de Dieu et l’amour du prochain que JĂ©sus lui-mĂȘme place comme Ă©tant le socle fondamental. La religion est un simple moyen, une salle de musculation pour le dĂ©veloppement de l’humain dans sa dimension spirituelle, thĂ©ologique, biblique, Ă©thique. La religion ne fait donc pas partie de l’essentiel, c’est ce que dit JĂ©sus quand il dit que le Shabbat est fait pour l’humain et non l’humain pour le shabbat Marc 227. C’est comme en ce qui concerne la forme physique, elle demande d’ĂȘtre nourrie, abreuvĂ©e, et exercĂ©e. Ensuite, c’est Ă  chacun de voir ce qui lui convient le mieux comme exercices. JĂ©sus insiste pour dire que c’est vraiment une question intime, privĂ©e Matthieu 6. Certaines personnes vous diront peut-ĂȘtre que tel acte religieux est essentiel, et que sans cela vous n’ĂȘtes pas chrĂ©tien ou un mauvais chrĂ©tien. Tant mieux de voir leur enthousiasme pour leur Ă©glise, mais c’est leur affaire. Et ce n’est certainement pas une excuse pour injurier les autres. Si leur pratique Ă©tait si gĂ©niale, elle devrait leur donner un cƓur qui aime, une intelligence qui respecte, une thĂ©ologie qui honore la transcendance de Dieu, qui est d’un autre ordre que nos exercices religieux Ă  tous. Le baptĂȘme aussi, est un geste pour nous dire que notre personne est importante au yeux de l’univers et de Dieu. C’est un beau geste mais l’important est d’entendre ce que le geste signifie, ce n’est pas le geste en lui-mĂȘme qui est essentiel. Mais comme dit ce proverbe cĂ©lĂšbre Lorsque le sage montre la lune, certains regardent le doigt » j’ai un peu tranbsformĂ© le proverbe afin de ne pas ĂȘtre exagĂ©rĂ©ment injurieux, oups. Donc oui, vous pouvez vous dire chrĂ©tien, converti. Et encore ayant besoin de se convertir, bien sĂ»r, nous avons tous et toutes encore pas mal besoin de cheminer, besoin d’ĂȘtre converti encore par le souffle de l’Esprit, et en aimant . Cela dit, c’est vrai que nous avons besoin, dans l’église, de personnes libres, sincĂšres, et engagĂ©e dans la foi. A l’occasion, Ă  votre rythme, votre participation au culte ou Ă  des groupes d’études thĂ©ologique ou biblique serait une bĂ©nĂ©diction pour d’autres personnes. Mais cela n’a rien d’une condition pour ĂȘtre un bon chrĂ©tien, il y a mil façons de faire avancer le monde, comme vous le dites, et l’essentiel est certainement de faire cela auprĂšs des personnes croisĂ©es dans la vie de tous les jours, en famille, dans son voisinage, au travail ou dans des associations. Grand merci pour votre rĂ©sumĂ©, excellent, de l’essentiel de la foi chrĂ©tienne. Dieu vous bĂ©nit et vous accompagne. par Marc Pernot, pasteur Ă  GenĂšve Salut Ă  tous !Je suis dans une situation assez compliquĂ©e et je ne sais plus vraiment ce que je peux faire. J'aimerais avoir un maximum de conseils. Je vais tenter de vous rĂ©sumer le truc. Merci d'avance Ă  ceux qui prendront le temps de lire. Donc actuellement je suis en seconde annĂ©e de BTS Services informatiques aux organisations, en spĂ©cialitĂ© dĂ©veloppement il y a deux spĂ©s, dĂ©v ou rĂ©seau. J'ai donc intĂ©grĂ© ce BTS aprĂšs avoir passĂ© un bac STI2D. Malheureusement tout ne s'est pas dĂ©roulĂ© comme prĂ©vu il se trouve que mon parcours en STI puis en SIO a Ă©tĂ© une suite de dĂ©sillusions et d'Ă©checs multiples. À l'heure actuelle la situation devient critique et l'impact sur mon Ă©tat moral, confiance en moi... commence Ă  ĂȘtre par le commencement. J'en suis venu Ă  faire ce bac spĂ© SIN et puis par la suite SIO parce qu'Ă  ce moment-lĂ  je me disais que je voulais faire de l'informatique du dĂ©veloppement Web notamment. En fait je suis passionnĂ© par l'informatique depuis que je suis petit, et je me suis jamais vraiment posĂ© de question sur mon avenir. Pour moi c'Ă©tait Ă©vident que ça allait ĂȘtre dans ce domaine. Je m'intĂ©resse Ă  beaucoup de domaines diffĂ©rents et celui-ci prĂ©domine un peu sur tout le il se trouve qu'Ă  l'Ă©cole j'ai toujours Ă©tĂ© quelqu'un de littĂ©raire. Et en fait, les matiĂšres scientifiques et les concepts abstraits/thĂ©oriques de façon plus gĂ©nĂ©rale, particuliĂšrement les mathĂ©matiques, sont depuis toujours totalement abstraites et incomprĂ©hensibles pour moi. J'ai un gros blocage avec ça depuis la nuit des temps. Pour donner l'exemple des maths, mon cerveau n'arrive pas Ă  en tirer quoi que ce soit, mĂȘme certains concepts pourtant jugĂ©s trĂšs simples. Le souci a commencĂ© Ă  se prĂ©senter de maniĂšre sĂ©rieuse vers le CM2, puis par la suite ça n'a Ă©tĂ© qu'une dĂ©gringolade jusqu'Ă  ce que j'atteigne le nĂ©ant. Travailler n'y change malheureusement pas grand chose mĂȘme si c'est un petit peu moins pire ces derniĂšres annĂ©es sur deux-trois notions de maths. À l'inverse, j'ai toujours Ă©tĂ© trĂšs Ă  l'aise dans les disciplines plus littĂ©raires, et j'ai toujours particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© celles-ci. Le français mais aussi les langues, l'histoire-gĂ©o ou la si vous ne connaissez pas le programme de STI2D, il faut savoir que celui-ci est composĂ© presque exclusivement d'enseignements thĂ©oriques et surtout de mathĂ©matiques on en fait absolument partout, tout le temps. Cette filliĂšre n'offre quasiment aucune place pour le concret, tout se base sur des formules et des schĂ©mas il n'y a mĂȘme pas de programmation, ou trĂšs peu, bref c'en est effrayant. En allant en STI2D je m'attendais Ă  faire de l'informatique et de l'Ă©lectronique. On m'a vendu du rĂȘve ; tout ça pour qu'au final je me retrouve dans une classe remplie de Jean-Matheux oĂč j'Ă©tais loin derriĂšre, Ă  contempler mes schĂ©mas Ă©lectriques et autres formules en me demandant quand est-ce qu'on ferait - enfin - un peu d'informatique. SpoilAfficherMasquerÇa n'est pas exclusif Ă  la STI2D, je me suis rendu compte au fil des annĂ©es que l'enseignement en France Ă©tait en fait totalement centrĂ© sur deux matiĂšres les maths et l'anglais. Les diffĂ©rentes filiĂšres ou formations ne sont qu'une fine couche de peinture qui vient se greffer Ă  tout ça, et cette couche sera toujours mĂ©prisĂ©e et sous-coefficientĂ©e par rapport au reste. M'enfin c'est un autre dĂ©bat. Et voilĂ  que je suis par la suite tombĂ© dans un piĂšge similaire en candidatant pour le BTS SIO. Premier point les enseignements thĂ©oriques. MĂȘme si je suis restĂ© bon dernier j'ai pu avoir un tout petit peu moins de mal avec certains chapitres de maths parce que ce sont des maths plus appliquĂ©es aux domaines de l'informatique. Ensuite j'ai commencĂ© Ă  me frotter Ă  certaines notions en informatique, qui ont une logique qui lĂ  encore m'Ă©chappe complĂštement. Je pense par exemple au SQL pour ceux qui ne connaissent pas, un langage et une technologie de gestion de bases de donnĂ©es. Je ne comprends rien du tout aux requĂȘtes, c'est d'un flou absolu pour moi. Et je ne parle mĂȘme pas des modĂšles conceptuels de donnĂ©es ou autres joyeusetĂ©s. Je peux aussi parler de la programmation orientĂ©e objet au bout d'un an je sais Ă  peine coder une classe, c'pas mal, etc. Second point. Les enseignements de spĂ©cialitĂ© sont intĂ©gralement basĂ©s sur une chose les ENTREPRISES. Ça s'en ressent tout le temps et jusque dans les moindres confins de nos TP. Par exemple chaque exercice sur les bases de donnĂ©es sera centrĂ© autour d'une base "employĂ©s", chaque Ă©tude de cas se prĂ©sente sous la forme d'une entreprise pour laquelle il faut rĂ©aliser une mission... Et le plus gĂȘnant dans tout ça on t'impose de A Ă  Z comment faire les choses. En gros, si tu fais un programme, tu dois faire telle fonction de TELLE MANIÈRE et PAS autrement, parce que "oui c'est une convention, comme ça c'est plus facile Ă  maintenir par un autre dĂ©veloppeur de l'entreprise oĂč tu travailleras". Pour les connaisseurs, on est absolument obligĂ©s de n'utiliser QUE de l'orientĂ© objet, du MVC, etc etc... On est confinĂ© dans plein de façons de faire et autres standards spĂ©cifiques qu'on est obligĂ© d'utiliser. Ça vous paraĂźt sĂ»rement trĂšs cohĂ©rent, et si le but est juste de rĂ©aliser une prestation sans Ăąme pour une sociĂ©tĂ© je peux comprendre... Mais ça n'est pas du tout ce que je recherche... Au final je me retrouve dans l'impasse, avec de graves difficultĂ©s et aucune motivation pour remonter la pente ; bien que j'essaie sans cesse, sans grand succĂšs. Ces derniers temps j'y ai repensĂ© et je commence vraiment Ă  me demander c'est vraiment ce qui me correspond. Maintenant quand j'y pense je me dis que conserver l'informatique seulement en tant que loisir, en codant mes petits trucs comme je voulais dans mon coin, aurait Ă©tĂ© la voie Ă  suivre. Le BTS ce n'est plus l'Ă©cole mais c'est une formation professionnelle, oĂč on vous forme Ă  servir une entreprise et c'est encore + vrai pour ce BTS-ci, au point que j'avais lu que le programme a Ă©tĂ© pensĂ© par les entreprises justement et rien d'autre. Et ça je n'en ai rĂ©ellement pris conscience que tout je suis donc dernier de ma classe loin derriĂšre les autres dans les matiĂšres de spĂ©cialitĂ© dĂ©veloppement, idem en maths Ă©videmment... En fait la matiĂšre oĂč je m'en sors le plus c'est le français, et c'est d'ailleurs le seul cours que j'apprĂ©cie vraiment. Mon niveau en anglais aussi est pas ouf mais je commence petit Ă  petit Ă  remonter la pente, j'ai moins de difficultĂ©s dans les domaines littĂ©raires donc c'est autre chose. Et puis l'atmosphĂšre du cours est largement plus reste des matiĂšres j'aime vraiment pas et je me sens pas bien du tout pendant les cours Ă  cause de mes difficultĂ©s et de l'"atmosphĂšre" qui y rĂšgne. Genre je vois tout le monde ĂȘtre loin devant moi et moi ĂȘtre loin derriĂšre, et ça me rend trĂšs triste. Et y'a aussi le cĂŽtĂ© "mentalitĂ©", pour vous donner un exemple trĂšs concret le prof de maths qui rend les copies, ils ont tous eu entre 14 et 20 mais la moitiĂ© sont en mode "ah merde, j'ai ratĂ©", Ă  forcer comme des demeurĂ©s... Pendant que moi je suis lĂ  avec mon 3/20 et mon seum. Enfin bref y'a cette atmosphĂšre assez spĂ©cifique dans quelques matiĂšres, ça + ne jamais rien capter et toujours ĂȘtre le type qui a la pire note Ă  chaque DS... je supporte difficilement il faut bien le l'heure actuelle je ne sais vraiment plus quoi faire. J'ai la sensation d'avoir totalement ratĂ© mon parcours scolaire, d'avoir fait tous les mauvais choix possibles, et de ne plus pouvoir y faire grand chose. DĂšs que j'essaie de reprendre les notions je me noie aussitĂŽt, je ne comprends rien, j'ai l'impression d'atterir dans une autre dimension. Et le peu de progrĂšs que je peux faire est entĂąchĂ© par un considĂ©rable manque de motivation. Je commence sĂ©rieusement Ă  me demander si je suis vraiment Ă  ma place en BTS d'informatique ; si au final je ne ferais pas mieux de me rĂ©orienter vers une voie littĂ©raire. Puis bon mĂȘme si je voulais je ne peux pas le faire maintenant, c'est trop tard ; j'ai entamĂ© ma seconde annĂ©e et je pense pas que mes parents l'entendraient de cette voilĂ , je suis dans l'impasse la plus totale ; rongĂ© continuellement par le sentiment d'Ă©chec quand tu es le dernier partout et qu'en + tu as pas Ă©normĂ©ment de gens pour t'entourer, l'impact sur ta confiance en toi est assez monstrueux et n'arrivant pas Ă  changer le cours des choses et je suis absolument pas/plus motivĂ© de toute façon. Je ne sais pas ce que je devrais que vous me donneriez comme conseils ? Quelqu'un est-il dĂ©jĂ  passĂ© par lĂ  ? Qu'est-ce que je peux faire pour me sortir de cette situation ?Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire. Je suis dĂ©solĂ© d'avoir fait aussi long, c'Ă©tait difficile de synthĂ©siter davantage. J'attends vos rĂ©actions avec impatience ; je peux bien sĂ»r donner des prĂ©cisions sur mon parcours ou autre si nĂ©cessaire.

je ne me sens pas Ă  ma place